Albert Frère efface ses dettes
        
        En cédant des titres Arkema et Pernod Ricard pour 930 millions d'euros, GBL retrouve la situation financière cash qui avait toujours été la sienne, sauf en 2011.    
    15/03/2012 - 13:12
                 
                            
        
        Les conseilleurs sont parfois les payeurs. Ayant horreur des dettes, Albert Frère a toujours incité ses partenaires et les dirigeants des groupes dont il est actionnaire à modérer leur endettement, même quand l'effet de levier était très à la mode.  Mais fin 2011, en pleine crise des dettes souveraines européennes, Groupe Bruxelles Lambert, qui s'était renforcé dans Imerys et subissait l'effondrement de ...
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