L’épineuse question de la valorisation des investissements directs étrangers / Elle affecte grandement la position extérieure nette débitrice de la France

Une très grande partie des investissements directs étrangers effectuée par la France n’est pas réalisée dans des entreprises cotées, de quoi interroger trois économistes de la Banque de France sur la pertinence de leur valorisation à leur valeur comptable. Ils arguent qu’une valorisation à leur prix de marché réduirait de près de 200 milliards d’euros la position extérieure nette débitrice de la France.